Tout part du fait qu’en Afrique, l’homme est considéré comme le chef de famille absolu.Il est le seul doté d’intelligence et capable de prendre des décisions.Ce raisonnement était bien respectée aux temps de nos ancetres .Cependant, de nos jours on rencontre des foyers civilisés,où la femme a la liberté de s’exprimer ( avec des limites bien entendu, qui sont fixées par le respect qu’elles ont à l’encontre de leur époux), dans d’autres elles demeurent la servante, celles qui font à manger et des bébés ( de préférence de sexe masculin).Ceci dit une fille qui grandit en Afrique est consciente de l’importance qu’un homme accorde au respect et à la loyauté.
En Afrique la vie est assez simple, tranquille et belle.le mot “stress” n’existe pas, le suicide est très rare.
En Afrique de nombreuses familles se nourrissent des produits de leur champ.
En Afrique vous pouvez vous faire garder votre enfant, gratuitement, par la voisine ( de confiance bien évidement), à qui vous pouvez sans honte, ni pudeur emprunter des ustensiles de cuisine, un peu de condiments, du sel, du cube et j’en passe.
En Afrique et plus précisément au Cameroun il fait bon de vivre.
Vous vous demandez certainement quel est le rapport avec le choix d’une bonne partenaire?
Lorsque nous sortons du ventre de nos chères mamans, nous avons une personnalité qui est définie par l’espression de nos gènes.Notre identité définitive résulte également de l’influence de la société, de l’environnement.L’homme est divers et ondoyant, s’adaptant pour survivre. Ainsi ces femmes africaines qui “ traversent des océans” pour rejoindre l’Europe se trouvent contraintes de changer pour survivre.Elles passent de chattes à tigres pretent à déchiqueter quiconque oserai les approcher,de verres de terre à vipères, remplient de venins ( mauvaises expériences, rancunes accumulées par les diverses injustices subies), de chenille à papillon.
C’est une mutation dùe aux nouvelles conditions de vie ( discrimination, ipocrisie, méfiance, permis de séjour à renouveler tous les un ou deux ans, loyer à payer, solitude, bébé à garder ou baby siter à payer, ecc..). A force de travailler dur ( comme des hommes ) et de traverser certains obstacles, elles prennent force et confiance en elles et deviennent indépendantes. Dans la crainte de ne pouvoir faire face aux nombreux soucis financiers que représente le fondement d’une famille en Europe, certaines se transforment en femmes matérialistes. Dès lors elles ne s’interessent qu’aux travailleurs, où étudiants intelligents ayant finis ou presque leur formation scolaire. Dans tous les cas l’homme n’est plus vu comme un chef suppreme mais comme un associé qui possèderai environ 60% des actions de la compagnie. Son opinion et celui de la femme seront pris en considération lors d’une prise de décision.
Le problème des africaines qui vivent en Europe est donc celui là qu’elles se sentent plus libres. L’homme est pour certaines d’elles un compagnon de route qu’on peut changer à toute escale.L’homme, surtout l’africain est doté d’un orgueil profond et sombre qui l’empeche de choisir une femme indépendante, et qui connaissant ses droits n’apréhende pas à s’exprimer librement, sans peur d’une éventuelle bastonnade. Je recommande toutefois aux africaines de ne pas perdre les valeurs avec lesquelles elles sont arrivées en Europe. Le respect, la loyauté et la bonne cuisine africaine.Il en va de l’équilibre de leur futur foyer, surtout si elles se marient avec des africains.