Le passeport biométrique CEMAC (Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale) a pour objectif de permettre la libre circulation des Hommes dans l’espace CEMAC qui comprend les pays suivants: le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale, le Tchad. Ce document a été présenté comme une révolution et un grand pas vers plus de modernisation de cette pièce d’identité internationale. Déjà entrée en vigueur dans la plupart des pays ci-dessus, son élaboration rencontre par ailleurs d’énorme difficulté.
Prenant exemple du Cameroun, on constate que, bien que mise en place les autorités compétentes ne réussissent pas à gérer la demande sois venant de l’extérieur que de l’intérieur. En effet, tous les passeports se font au Cameroun. En étranger c’est Presque un parcours du combattant qu’il faut effectuer pour s’octroyer ce petit bijou.
Dans le cas de la France, l’ambassade du Cameroun parvient bien que mal à gérer la demande sur le territoire. En effet, elle, la demande, s’avère très élevée (au moins 200 demandes par jour).En Italie, selon les autorités sur place le processus est lancé cependant il est à noter jusqu’aux jours d’aujourd’hui aucun passeport n’a pas encore été délivré pourtant la demande est énorme. On se demande pourquoi ?
Pourquoi toutes ces difficultés?
Toutes ces difficultés parce que tout est centralisé au Cameroun. Les demandes de passeport faites à l’extérieur sont envoyées au Cameroun où elles seront élaborées. Tout ça pourquoi on se le demande. Comment se fait il qu’ici à l’étranger Il ne soit pas possible de se faire un passeport avec toute la technologie que l’on y retrouve? C’est franchement absurde. Pourquoi ne pas le décentraliser prenant par exemple la France comme point principale d’élaboration des nouveaux passeports pour le continent Européen? Ainsi on verra ce problème crucial prendre le chemin de résolution.
Partager cet article