Il ya quelques semaine, s’est achevé dans la plus part des pays africains une avalanche de célébration marquant le cinquantenaire de l’Independence de l’Afrique. Des cérémonies qui n’ont pas fait l’unanimité, et qui n’avaient pas lieu d’être selon certains libres observateurs politique. Un tel évènement ne saurait passer inaperçu, je dirais même de manière désintéressé, vue son immense importance et surtout pour ce que cela représente pour nous qui sont des africains donc la vrai décolonisation dans son sens propre du terme semble seulement et théoriquement existé dans nos livres d’histoire. En fait en ce qui me concerne je ne pouvais me permettre de rater le train, je veux dire de louper une grandiose occasion comme celle ci qui au moins tant bien que mal a permit de faire une vision introspective sur l’Afrique, de opérer une analyse critique sur l’évolution éco-socio-politico-culturelle, et faire un autopsie sur les plaies et gangrènes de l’Afrique de l’Independence jusqu’à nos jours. C’est donc avec une très grande attention que mon regard s’est porté sur ces grandes manifestations.
L’indépendance de l’Afrique, unité et paix, travaille, progrès, démocratie, développement, prospérité, intégrité. Voilà plus ou mois quelques principaux thèmes sur lesquelles certains pays on mener une réflexion critique .Tel que nous ont fait écouter et voire les medias , à part certains boiteuses festivités culturelles qui se sont déroulées , il s’est deploié une éclatante mobilisation militaire, jalonné bien de gargantuesques défilés que d’aucun ont qualifié des spectaculaires, et peu important pour la circonstance .L’un des éléments qui a beaucoup fait coulé d’ancre, pour ne pas dire de larmes, a été la présence et participation des troupes africaines au défilé des forces de l’ordre française aux champs élises le 14 juillet 2010. Ce qui me semble bizarre et aiguise ma curiosité, est le fait que l’on a vu même pas l’ombre d’un Chef d’Etat du coté de l’occident présent en Afrique durant les cérémonies. Je ne sais pas si vous percevez la nuance qui se dégage ici? Permettez-moi d’être plus clair. Notre majeur célébration depuis cinquante ans, a été négligée, et voire même méprisée par le Nord et qu’est ce qui explique la présence de nos troupes aux champs Élise? En toute véracité, vous convenez avec moi que le bout du tunnel qui accède aux portes de l’indépendance est encore lointain, et j’ose croire qu’on se trouve dans le bon tunnel, car si on s’est trompé alors là il faudrait tout remettre en question.
De toute façon quel qu’en soit les degrés de bêtise des Hommes, tous les Hommes ne sauraient être toctoc, c’est pourquoi il y a lieu de félicité certain chef D’Etat comme celui de la cote d’ivoire qui à décliner la participation de ses troupes, voyant probablement en une telle invitation un esprit de néocolonialisme. Voilà selon moi l’exemple à suivre, ici le refuit ne se limite pas seulement à un non tout cour, mais à une révolte contre un système qui n’est pas à 100/100 la cause de la Misère de l’Afrique, mais qui en est je crois l’une des facteurs catalyseurs.
Par ailleurs, une telle observation m’entraine vers la ferme résolution selon laquelle, le destin de notre continent est entre nos mains, nous jeunes Africains intellectuelles en devenir, et que le courage, le travaille et surtout l’intégrité et sacrifice doivent faire partir de nos principes et nos devises personnelles. Telle est le code de la porte étoile, et il ne faut pas de trop pour constater que nous ne sommes pas seules à le penser. Heureusement aujourd’hui on a un illustre président qui nous sert d’exemple. En effet, au lieu de faire comme ses collègues convoitant la galeuse armada africaine, le PR Barack Obama qui intelligent soit il, a plus tôt focalisé son espoir sue la jeunesse africaine. En clair, il a invité plusieurs jeunes leadeurs entrepreneurs et intellectuelles africaine à la maison blanche à s’entretenir sur le devenir du continent noir. Je crois qu’il serait inutile d’entrer dans les détailles je m’arrête là, car je crois avoir déniché l’élément fondamentale de la problématique que laisse paraitre le titre de cet article. Alors revenons à nous.
Le tout premier article qui a été publié dans se blog a été intitulé La Génération sacrifiée, dans le quel l’auteur a pris la peine de étayer certains réalités que nous vivons. De son argumentaire, j’ai toute fois perçu son objectif, celui certainement d’éveiller les consciences sur une façade primordiale de l’Afrique qu’è notre destinée générationnelle, nous qui somme le porte flambeau de notre chère terre mère. En outre, de ma propre analyse le postulat qui s’est dégagé à la sortie de cet article est une invitation urgente à se battre pour changer notre sort qui est loin d’être salutaire. C’est vrai, qu’on ne saurait en tout état de cause incriminer seulement nos colonisateurs qu’on accuse de responsable de la Misère de L’Afrique. Nous en sommes pour beaucoup, et voire même c’est nous qui avions appuyé sur la gâchette. Par ailleurs, il ne servirai à rien de s’apitoyer sur notre situation déplorable en voulant justifier les plaies du présent par les follets du passée .sur ce, the time is now.
Je ne saurais proposer un antidote, ou une panacée en mesure de guérir tout d’un les maux de l’Afrique. Ce pendant, en mon humble avis le devenir da l’Afrique sommeille en nous, je veux dire que nous sommes la génération qui peut la rendre prospère et étincelant. Mais comment alors?
J’aimerai attirer notre attention sur des tendances sociales qui sont à la mode que d’aucun trouveront surement banale, mais que moi je retiens d’être un tremplin pour un saut vers l’enfer permettez moi le terme. On souffre d’une énorme médiocrité, et misère intellectuelle .Cela ne veut pas dire que l’Afrique n’a point d’intellectuels. Le comble est que si leur velléité intelligible sert à piller, détruire et anéantir l’Afrique, alors là il faudrait remettre en cause ce qu’on considère comme des actes intellectuels. IL serait erroné de compter sur ces vieux affalés et assoiffé dirigeants, par conséquent notre souci serait celui de forger une caste de jeunes intellectuels de la nouvelle génération, drogués de velléités panafricanistes. Par ailleurs, de nos jours dans la plus part des pays d’Afrique l’industrie du divertissement bat sont plein, on s’attèle à noyer nos cerveau dans la boisson. Un tel cerveau quel projet, ou découverte peu t’il faire si ses cellules nerveuses ne se nourrissent que d’alcool? De plus, on ne pense qu’à s’amuser, qu’à être élégant arborant des griffes extravagants donc les prix sont exorbitants .Grande est ma tristesse et désolation de constater que certains préfèrent souffrir de famine et d’être bien habillés qui se résume qu’au port des griffes. Je tiens à préciser qu’en toute liberté, chacun a le droit d’agir comme bon lui semble. Cependant quand on se trouve à faire face à des pseudos attitudes qui sont érigées en de modèles de référence, et voire même considérés comme des valeurs sociales, là il y a problème.
Suivez bien mon regard, on ne se rend pas compte de la situation dans laquelle on verse, et de l’énorme potentiel des consciences qui sont manipulés et endormis dans cette spirale de divertissement systématiquement contrôlées à des fins politiques. Moi également je me trouve dans l’épicentre de la spirale ,mais j’en fait des efforts pour en sortir parce que j’ai pris conscience de la situation convaincu du fait que pour le salut de l’Afrique il serait plus important de se mettre au four et moulin tel que les occidentaux l’ont fait il y a de belle lurette, et en continuent .
C’est justement dans le même ordre d’idée que le Pr Barack obama ,après sa victoire interpella non seulement le peuple noire des USA ,mais aussi ceux d’Afrique à ne pas seulement braver dans les métiers tel que le sport ,la musique ,et d’autre activités à orientation culturelle , mais aussi de s’intéresser et voire même de participer à la construction de leurs pays ,qui n’est d’autre qu’à postuler pour certains charges fonctionnelles ,à s’intéresser aux sujets, à coloration politique et pourquoi pas influencer d’avantage le processus de prise de décision politique , car s’est là que se situe la contingence d’un changement prospère.
Au demeurant, grande est ma satisfaction de constater que le message est passé, et qu’il y a des jeunes africains qui essaient à leur niveau d’apporter leurs contribution à l’édifice tel que permettez moi de citer son nom DONALD KUITCHE, à qui j’envois tout mes félicitations, mon soutient et bénédictions pour son poste qu’il occupe au sein de L’ASCAFI. Je sais qu’il y a d’autres qui discrètement travaille et se donne à fond dans ce qu’il on retenu d’important et fondamentale pour leur devenir : études, travaille, ou autres activités. En somme, tels sont les prémisses d’un avenir prospère et positivement promettant pour nous, Fils du berceau de l’Humanité et également de notre chère Afrique.
Loin de la médiocrité, près de l’excellence
DATEN WAGUE CYRILLE, étudiant en sciences des communications, faculté des sciences politiques
A suivre ………………….